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ITTOURAR HISTOIRE
iferhounene vit au temps du moyen âge
voila donc un village comme on en voit presque partout en kabylie, suspendu à un épéron. Un village qui comptait à peine 1000 habitants en 1964, sans doute moins. Mais à mesure que le temps passait, la démographie explose alors que les obus et les balles, grenades et autres munitions commençaient à peine à étre oubliées par ce petit peuple tranquille surpris par la sauvagerie de la guerre... quelques années plus tard ayant suivi l'indépendance, le village devient administrativement chef de file de plusieurs hameaux, pour devenir une daira. Mais avant, pendant la guerre de libération, ce village avait servi de bivouac à la deuxième compagnie du sixiéme BCA - bataillons de chasseurs alpins. C'est aussi dans ce village ou la S.A.S (section administrative spécialisée) du Lieutenant Bouchet en 1960, avait eu à porter sur les registres d'état de décés de la commune, la mort du lieutenant Francois d'Orleans, petit fils du roi PHILIPPE Premier.
François d'Orléans, pour l'histoire, mobilisé et a participe, en tant que sous-lieutenant, à des opérations militaires en Grande Kabylie. Le 11 octobre 1960, il trouve la mort près du village de Taourirt Ali Ouanacer alors qu’il cherche à porter secours à l’un de ses harkis. Il est mortellement touché d'une balle de fusil de chasses tirée d'un abri ou se terraient 3 moudjahidines qui seront tués tous les trois. Evacuée en urgence par Helycoptère sikorsky, le lieutenant n'a pu survivre à sa blessure causée par cette arme redoutable " la chevrotine", utiliséee par les kabyles depuis la nuit des temps pour se défendre contre l'envahisseur.
Durant cette dernière, guerre beauoup de morts, tant du coté de l'armée française que du coté des algériens. dans ce village, des civils et des maquisards, mais aussi des prisonniers torturés par les soldats du capitaine Favier et Wolf, ou exécutés sommairement par le peloton du sanguinaire lieutenant Pelardy. Il est l'artisan de la premeire execution sommaire qu'a connu le village en les personnes de Si Hadj Mohand Arezki et Belkadi soupconnés par l'armée coloniale d'étre des collecteurs de fonds au profit du FLN. Cela s'est passé en 1958.
fr.wikipedia.org/wiki/Fran%C3%A7ois_d%27Orl%C3%A9ans_%281935-1960%29
iferhounen.blogs.nouvelobs.com/archive/2013/02/01/iferhounene-vegete-dans-les-annees-62.html